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https://doi.org/10.11588/diglit.43560#0035
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0.5
1 cm
J. H. Lamberts uncl A. G. Kaestners Briefe.
19
sans qu’ il soit- besoin de Vous renouveller mon Souvenir par des lettres.
Aussi j’ai ete tres sensible an recit que Mr. Seyberth m’a fait de la
maniere de laquelle Vous lui avez parle sur mon Sujet. C’est une grande
perte pour nous que la mort de ce jeune Savant qui joignoit les con-
noissances tres etendues et tres profondes ä un coeur excellent. II avoit
etudie les mathematiques avec beaucoup d’application et la jurisprudence
en auroit profite.
A l’occasion de ce que Vous dites Monsieur dans Votre belle disser-
tation sur l’aimant, au sujet des memoires de Mons. May er, je suis
fache d’etre oblige de Vous dire que ces Memoires ä ce qu’ il semble
sont perdus pour nous. Mr. M. n’avoit tres souvent que le brouillon
de ses memoires qu’ il se proposoit de perfectionner. et ses papiers se
sont trouves tout en desordre. Il y a cinq ou six de ses memoires pour
la Societe que je n’ai pü trouver, aiant eu ses papiers dans ma disposition
Lamb ert
in
0
'’t
oä
o
>
CD
Des nuages
voir la lum
que nous n —
irnble et tres obeissant
Serviteur
Kaestner.
Il m’a paru que
un peu trop dans des
iquer la Variation de
ns un certain endroit
oit manie des aimans
avoit eu en fer de che-
»uterrain.
Je er
1765 que IM
qui ne men
Il m’oflrit une corre-
rs, que je previs que
nnois encore sa Disser-
plles Litteraires, et je
apres qu’ili -
M. Mayer =•
hypotheses.. Er
l’aiguille il =.
de l’interie =_
artificiels d
.■ la Lettre du 15. Oct.
celle du 13. dez. 1769,
vir. Boye m’en parla
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sans qu’ il soit- besoin de Vous renouveller mon Souvenir par des lettres.
Aussi j’ai ete tres sensible an recit que Mr. Seyberth m’a fait de la
maniere de laquelle Vous lui avez parle sur mon Sujet. C’est une grande
perte pour nous que la mort de ce jeune Savant qui joignoit les con-
noissances tres etendues et tres profondes ä un coeur excellent. II avoit
etudie les mathematiques avec beaucoup d’application et la jurisprudence
en auroit profite.
A l’occasion de ce que Vous dites Monsieur dans Votre belle disser-
tation sur l’aimant, au sujet des memoires de Mons. May er, je suis
fache d’etre oblige de Vous dire que ces Memoires ä ce qu’ il semble
sont perdus pour nous. Mr. M. n’avoit tres souvent que le brouillon
de ses memoires qu’ il se proposoit de perfectionner. et ses papiers se
sont trouves tout en desordre. Il y a cinq ou six de ses memoires pour
la Societe que je n’ai pü trouver, aiant eu ses papiers dans ma disposition
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Des nuages
voir la lum
que nous n —
irnble et tres obeissant
Serviteur
Kaestner.
Il m’a paru que
un peu trop dans des
iquer la Variation de
ns un certain endroit
oit manie des aimans
avoit eu en fer de che-
»uterrain.
Je er
1765 que IM
qui ne men
Il m’oflrit une corre-
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nnois encore sa Disser-
plles Litteraires, et je
apres qu’ili -
M. Mayer =•
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l’aiguille il =.
de l’interie =_
artificiels d
.■ la Lettre du 15. Oct.
celle du 13. dez. 1769,
vir. Boye m’en parla