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Sommer, Andreas Urs; Nietzsche, Friedrich; Heidelberger Akademie der Wissenschaften [Mitarb.]
Historischer und kritischer Kommentar zu Friedrich Nietzsches Werken (Band 6,1): Kommentar zu Nietzsches "Der Fall Wagner", "Götzen-Dämmerung" — Berlin, Boston: De Gruyter, 2012

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https://doi.org/10.11588/diglit.70913#0421
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402 Götzen-Dämmerung

dem es — gerade im intellektuellen Elitebewusstsein, in der Absonderung von
der Masse — so viele Gemeinsamkeiten geben könnte, dass die Singularität
des Umwerters in Gefahr geriete. Zu N.s Renan-Rezeption vgl. auch Barbera /
Campioni 1984, Shapiro 1982; Sommer 2000a, und Chaves 2009.
111, 18-21 Renan. — Theologie, oder die Verderbniss der Vernunft durch die
„Erbsünde" (das Christenthum). Zeugniss Renan, der, sobald er einmal ein Ja
oder Nein allgemeinerer Art risquirt, mit peinlicher Regelmässigkeit daneben
greift.] In W II 3, 11 klang das noch eine Spur freundlicher (im Folgenden
ohne durchgestrichene Passagen wiedergegeben): „Wie kommt es, daß ein so
raffinirter und ungebundener Geist wie Renan jedes Mal, wo er sich seinem
Instinkt überläßt, sich vergreift? [...] In einer absurden Weise Theolog und
Femininum wird?" (KGW IX 7, W II 3, 11, 2-8, vgl. KSA 14, 423).
111, 21-112, 1 Er möchte zum Beispiel la science und la noblesse in Eins ver-
knüpfen: aber la science gehört zur Demokratie, das greift sich doch mit Hän-
den.] Vgl. NL 1887, KSA 12, 9[20], 347 (KGW IX 6, W II 1, 120, 24-42); 9[29], 348
(KGW IX 6, W II 1, 118, 22-28). Die unmittelbare Quelle, die auch in 9[20]
und 9[29] verarbeitet wird, ist Berard-Varagnac 1887, 280-282 (Nachweis bei
Campioni 1992, 403 f.): „Quel est donc ce rapport eternel, cet indestructible
lien qui unit, d'apres M. Renan, la science et l'aristocratie comme deux puis-
sances dont l'une est nee de l'autre, et qui demeurent inseparables? / Nous
touchons lä ä tout un ordre de sentiments, d'idees et de convictions qui ne
sont certes pas ce qu'il y a de moins original et de moins personel dans la
pensee de M. Renan. La theorie de cette alliance necessaire et en quelque sorte
de cette harmonie preetablie /281/ entre la science et le principe aristocratique
est, notez-le, une de ses theories fondamentales, je pourrais dire un de ses
articles de foi. [...] / ,La vie de l'esprit, dit-il, m'apparaissait comme seule
noble; toute profession lucrative me semblait servile et indigne de moi...' Et
un peu plus loin: ,Le noble, d'apres les idees du pays, etait celui qui, ne gag-
nant rien, n'exploite personne, qui n'a aucun profit que le revenu de ses terres
fixe par la tradition.' [Anstreichung N.s am Rand] / Vous sentez comment, des
l'abord, l'idee de science et l'idee de noblesse s'unirent presque instinctive-
ment dans cet esprit d'enfant breton et catholique. Plus tard, etudiant l'his-
toire, ne dut-il pas etre frappe et charme, ce lettre ne pour vivre dans l'excercice
de la pensee speculative /282/ et dans le domaine du passe, quand il connut
quelle part les aristocraties et les royautes ont eue jadis au progres des lettres
et des arts? Et il en regut cette impression que la science, comme il l'a ecrit,
d'origine aristocratique, qu'il y a entre elle et l'aristocratie des affinites naturel-
les, que les genies grandissent malaisement dans une societe populaire, et
qu'il leur faut la condition propice des oligarchies." (Der letzte Satz mit Anstrei-
 
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