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Cartellieri, Otto [Editor]; Heidelberger Akademie der Wissenschaften / Philosophisch-Historische Klasse [Editor]
Sitzungsberichte der Heidelberger Akademie der Wissenschaften, Philosophisch-Historische Klasse (1914, 6. Abhandlung): Beiträge zur Geschichte der Herzöge von Burgund: V. Fragmente aus der zweiten "Justification du duc de Bourgogne" des Magisters Johann Petit — Heidelberg, 1914

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https://doi.org/10.11588/diglit.33309#0031
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Beiträge zur Geschichte der Herzöge von Burgund.

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en che cas present. Comme il appert par la quinte verité de nostre
justificacion dessusdicte et par les probacions d’ychelles 1, aux-
quelles partie adverse n’a en riens respondu ne ne sçaroit respon-
dre ne luy ne aultre, car elles concluisent sy clerement verité
qu’il n’y a point de response.

[Zum Bündnis zwischen Johann von Burgund und Ludwig
von Orléans.]

Et pour respondre formelement ad che que partie adverse
a fait dire 2 que entre eulx avoit allyanches jurées par (Br f. 36 v.)
pluiseurs fois et confermées si fortes, comme on pooit faire: je
replique et dy qu’il n’en est riens. Bien 3 est vray qu’il y eut une
cedule faitte signée 4 des propres mains et sellée des propres seaulx
de mondit segneur de Bourgoingne et dudit criminel, contenans
trois clauses 5. (G f. 149 v.) La prumiere: ilz jurerent labourer au
bien du roy et du royaulme; la seconde que pour che mieulx faire
et accomplir ilz seroient d’orenavant compagnons d’armes; et la
tierche qu’ilz estoient d’acord de faire allyanches ensamble et
voloient que bonnes lettres patentes feussent faittes, pour les
seeller de leurs seaulx 6. Et pour che faire, ordonnerent 7 chertains
deputés, leurs conselliers de costé et d’aultre, pour composer et
deviser lesdictes lettres et mettre en bonne fourme. Chependant
mondit segneur de Bourgoingne regarda que ledit criminel ne voloit
pour chose qu’il luy cleist labourer au bien du roy et du royaume
et ainsy venoit ja contre le prumier point de ladicte cedule, pour
lequel point principalment mondit segneur de Bourgoingne voloit
avoir alleanches avoec luy. Oultre fut dit et raporté à mondit
segneur de Bourgoingne que le monde commenchoit à murmurer
contre eulx deux. Et pour che s’en vint aux Celestins par devers

1 Monstrelet I 215 f. Die lateinischen Ausführungen Petits sind
dort fortgelassen, vgl. in Hs. F fol. 173 v f. und E fol. 17 v. (s. oben S. 4
Anm. 1).

2 In Monstrelet I 304f.

3 Die folgende Stelle steht beinahe wörtlich noch einmal Br fol. 89 und
G fol. 218: Bien est vray, comme il est dessus raconté qu’il y ot deux petites
cedules faittes signées de leurs propres mains et seelées de leurs petiz seaulx . ..

4 signees Br. 5 choses G. 6 grans seaulx Br fol. 89 und G fol. 218.

7 donnerent Br.
 
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