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Winkler, Emil; Heidelberger Akademie der Wissenschaften / Philosophisch-Historische Klasse [Hrsg.]
Sitzungsberichte der Heidelberger Akademie der Wissenschaften, Philosophisch-Historische Klasse (1937/38, 1. Abhandlung): Zur Geschichte des Begriffs "Comédie" in Frankreich — Heidelberg, 1937

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https://doi.org/10.11588/diglit.41993#0036
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28. Emil Winkler:
riez, car vous pleurerez1 2! . . II etait ordinaire aux Peres de prendre
ä la lettre la parole de Notre Seigneur: Malheur d vous qui riez, car
vous pleurerez. Saint Basile, qui en a, conclu qu'il riest permis de
rire en aucune sorte: ouSs-ote, jta-9-oAou, . . tempere cette sentence par
celle-ci de VEcclesiastique: le jol eclate en riant, mais le sage rit ä
peine ä petit bruit, et d’une bouche timide. Conjormement d cette sen-
tence, il permet, avec Solomon, d'egayer un peu le visage par un
modeste souris; mais pour ce qui est de ces grands eclats et de ces
secousses du corps, qui tiennent de la convulsion., selon lui, elles ne
sont pas drin komme vertueux et qui se possede lui-meme . A Aber
selbst dieses geringe Zugeständnis des Basilius an das Lachen (das
die gemessene Komik zahlreicher französischer Komödien recht-
fertigen könnte), findet vor Bossuets Augen keine Gnade. Bos-
suet lehnt beide, die ernste wie die ausgelassene Komödie ab:
. ... il ne faut pas esperer de rien faire de regulier de la comedie,
parce que celles qui entreprennent de tralter les grandes passions, veu-
lent remuer les plus dangereuses, d cause qu*elles sont aussi les plus
agreables: et que celles dont le dessein est de faire rire, qui pourraient
etre, ce semble, les moins vicieuses, outre Vindecence de ce caractere
dans un chretien, attirent trop facilement le licencieux, que les gens
du monde, quelque moderes qidils paraissenl, aiment mieux ordinaire-
ment qu’on leur enveloppe, que de le supprimer entierement. — On
voit en eff et par experience d quoi shstenfin terminee tonte la reforme
de la comedie qu’on a voulu introduire dans nos jours. Le licencieux
grossier et manifeste est demeure dans les farces, dont les pieces comi-
ques tiennent beaucoup: on ne peut goüter saus amour les pieces
serieuses (die deswegen ebenso verderblich sind)3.
Des Konfliktstoffes, den die Spannung im Begriff Comedie für
kritische Geister unweigerlich barg, war kein Ende. Für Voltaire
ist die ernste (und rührend gewordene) Komödie eine Mißgeburt:
En eff et, cette comedie larmoyante, absolument privee de comique (im
Sinne des Lachens), nhst, au fond qu’un monstre ne de Vimpuissance
d’etre ou plaisant ou tragique. — Celui qui ne peut faire ni une vraie
comedie, ni une vraie tragedie, tacke dSinleresser par des aventures bour-
geoises' attendris-santes: il Ea pas le don du comique; il cherche d y
1 Bossuet, Maximes et reflexions sur la Comedie, 1694. Ausgabe von
H. Bremond (Bossuet, Textes choisis et commentes, Paris, Plon-Nourrit,
Bd. III), S. 40.
2 Bossuet, a. a. O., S. 82. 3 Bossuet, a. a. O., S. 86/87.
 
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