VMrma; soit ynkürnwima comme je l'ai fait en considérant que le
dépassement de cette haste vers le bas est accidentel. Le même
mot réapparait au milieu de la 1. 4 où je le transcris
car la ligature wi n'y a pas la forme attendue; mais la séquence
WY? est sûre.
Ligne 3 la restitution du premier aksara est sûre: le -o se voit sur
la pierre. A la fin il faut lire awzfan'fa ou avaûŸn'ûT, avec deux
points insérés entre fa et n et qui n'ont rien à y faire.
PAUL ne les a pas marqués sur sa copie bien qu'ils soient sûrs.
Deux ou trois aksara manquent au début de la ligne 4 qui repro-
duit une stance du don de la terre bien attestée. SlRCAR 1965:
193, n° 117 en donne de multiples variantes, dont celle-ci:
ûûafvnaygfar naräaäm
kä/e kâ/e pa/aaqo ûûai'aûû/a'û/
sarvaa efaa û/iâianaû
ûûayo ûûâyo yâcafe Æâmacan<7raû//
On peut la traduire ainsi, dans la mesure oû ^ûa/wajefar est par-
fois remplacé par (fànaJûarmaû: "Ce don pieux appartient à tous
les hommes. Maintenez le éternellement. C'est ce que demande
instamment Râmacandra (le donateur) à tous les souverains à
venir".
PAUL, qui a eu le mérite de découvrir ce parallèle, et donc de
pouvoir déchiffrer la 1. 4, s'est laissé entraîner trop loin par celui-
ci. La séquence ^arf/aûea<7râ n'existe pas, comme j'ai pu le vérifier
sur la pierre et comme le montre sa copie. Fa est sûr, et confirmé
par l'apa^/nnânfya qui le surmonte. Ce que je lis nû/m dans Maye
pourrait être fafra, mais la syllabe suivant le pa ne peut être rf/û.
Il s'agit d'un dessin très caractéristique, qui réapparaît deux fois
1. 5, que je n'aurais aucune hésitation à transcrire ne ou si ces
aksara n'apparaissaient pas avec une autre forme ailleurs dans le
texte. J'ignore ce qu'est ce mot: graphie fautive de (il
faudrait alors suppléer le û/m de û/rnye), mot que je ne sais pas
lire, ou mot inconnu. La lecture de la fin de la ligne est sûre (y
compris yacafe poury<2c<3fe), sauf pour et les
deux dernières syllabes dont je ne vois pas très bien comment
PAUL peut les transcrire
La ligne 5 se laisse copier, mais je n'arrive pas à en donner une
transcription satisfaisante pour le sens. Ligne 6 il faut certaine-
ment lire ûûavafn, "qu'il soit", ce qui indique que l'inscription se
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dépassement de cette haste vers le bas est accidentel. Le même
mot réapparait au milieu de la 1. 4 où je le transcris
car la ligature wi n'y a pas la forme attendue; mais la séquence
WY? est sûre.
Ligne 3 la restitution du premier aksara est sûre: le -o se voit sur
la pierre. A la fin il faut lire awzfan'fa ou avaûŸn'ûT, avec deux
points insérés entre fa et n et qui n'ont rien à y faire.
PAUL ne les a pas marqués sur sa copie bien qu'ils soient sûrs.
Deux ou trois aksara manquent au début de la ligne 4 qui repro-
duit une stance du don de la terre bien attestée. SlRCAR 1965:
193, n° 117 en donne de multiples variantes, dont celle-ci:
ûûafvnaygfar naräaäm
kä/e kâ/e pa/aaqo ûûai'aûû/a'û/
sarvaa efaa û/iâianaû
ûûayo ûûâyo yâcafe Æâmacan<7raû//
On peut la traduire ainsi, dans la mesure oû ^ûa/wajefar est par-
fois remplacé par (fànaJûarmaû: "Ce don pieux appartient à tous
les hommes. Maintenez le éternellement. C'est ce que demande
instamment Râmacandra (le donateur) à tous les souverains à
venir".
PAUL, qui a eu le mérite de découvrir ce parallèle, et donc de
pouvoir déchiffrer la 1. 4, s'est laissé entraîner trop loin par celui-
ci. La séquence ^arf/aûea<7râ n'existe pas, comme j'ai pu le vérifier
sur la pierre et comme le montre sa copie. Fa est sûr, et confirmé
par l'apa^/nnânfya qui le surmonte. Ce que je lis nû/m dans Maye
pourrait être fafra, mais la syllabe suivant le pa ne peut être rf/û.
Il s'agit d'un dessin très caractéristique, qui réapparaît deux fois
1. 5, que je n'aurais aucune hésitation à transcrire ne ou si ces
aksara n'apparaissaient pas avec une autre forme ailleurs dans le
texte. J'ignore ce qu'est ce mot: graphie fautive de (il
faudrait alors suppléer le û/m de û/rnye), mot que je ne sais pas
lire, ou mot inconnu. La lecture de la fin de la ligne est sûre (y
compris yacafe poury<2c<3fe), sauf pour et les
deux dernières syllabes dont je ne vois pas très bien comment
PAUL peut les transcrire
La ligne 5 se laisse copier, mais je n'arrive pas à en donner une
transcription satisfaisante pour le sens. Ligne 6 il faut certaine-
ment lire ûûavafn, "qu'il soit", ce qui indique que l'inscription se
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