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Jauß, Hans Robert; Heidelberger Akademie der Wissenschaften / Philosophisch-Historische Klasse [Hrsg.]
Sitzungsberichte der Heidelberger Akademie der Wissenschaften, Philosophisch-Historische Klasse (1986, 1. Abhandlung): Die Epochenschwelle von 1912: Guillaume Apollinaire: "Zone" u. "Lundi rue Christine" ; vorgetragen am 11. Jan. 1986 — Heidelberg: Winter, 1986

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https://doi.org/10.11588/diglit.48144#0023
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Die Epochenschwelle von 1912

13

erlaubt, das Chaos zu ordnen’, wie es sich Apollinaire vom Esprit
nouveau der avantgardistischen Dichtung und Malerei erhofft hat12.

II.

Lundi Rue Christine

I 1 La mère de la concierge et la concierge laisseront tout passer
2 Si tu es un homme tu m’accompagneras ce soir
3 Et il suffirait qu’un type maintînt la porte cochère
4 Pendant que l’autre monterait
II 5 Trois becs de gaz allumés
6 La patronne est poitrinaire
7 Quand tu auras fini nous jouerons une partie de jacquet
8 Un chef d’orchestre qui a mal à la gorge
9 Quand tu viendras à Tunis je te ferai fumer du kief
III 10 Ça a l’air de rimer
IV 11 Des piles de soucoupes des fleurs un calendrier
12 Pim pam pim
13 Je dois fiche près de 300 francs à ma probloque
14 Je préférerais me couper le parfaitement que de les lui donner
V 15 Je partirai à 20 h 27.
16 Six glaces s’y dévisagent toujours
17 Je crois que nous allons nous embrouiller encore davantage
18 Cher monsieur
19 Vous êtes un mec à la mie de pain
20 Cette dame a le nez comme un ver solitaire
21 Louise a oublié sa fourrure
22 Moi je n’ai de fourrure et je n’ai pas froid
23 Le Danois fume sa cigarette en consultant l’horaire
24 Le chat noir traverse la brasserie
VI 25 Ces crêpes étaient exquises
26 La fontaine coule

12 Die Genese einer neuen ‘Idee des Objekts’ hat Apollinaire selbst einmal im Blick
auf Braque mit einem älteren, offenbar unersetzbaren Begriff des Ästhetischen -
dem Erhabenen - erläutert und zu legitimieren versucht: „Le travail (...) contient
une multitude d’éléments esthétiques dont la nouveauté est toujours d’accord avec
le sentiment du sublime qui permet à l’homme d’ordonner le chaos: il ne faut pas
mépriser ce qui paraît neuf, ou ce qui est sali ou ce qui nous sert, le faux bois ou le
faux marbre des peintres en bâtiments. Même si ces apparences paraissent triviales,
il faut, lorsque faction réclame un homme, qu’il parte de ces trivialités“, (Lespeintres
cubistes (1913), in: OC IV, S. 33).
 
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